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Groupes de jeu : rapport d’enquête sur les effets de la crise du Covid

Publié par la Fédération suisse des animatrices de groupes de jeu FSAJ, le deuxième rapport de l’enquête consacrée aux effets de la crise du Covid sur les groupes de jeu lance l’alerte : la précarité rencontrée par les groupes de jeu ne doit pas devenir la norme, mais même en situation de pandémie, elle n’est pas acceptable. Elle conduit à un manque de personnel qui entraîne à son tour une détérioration de la qualité.


Photo : Anton | unsplash.com

La FSAJ a enquêté auprès des groupes de jeu pour analyser de manière systématique la période de pandémie et en tirer des enseignements pour l’avenir. Dans le même temps, kibesuisse a mené une autre enquête auprès des structures d’accueil, des familles de jour et des organisations d’accueil parascolaire. Les deux enquêtes ont été soutenues et diffusées par la Conférence des directrices et directeurs cantonaux des affaires sociales (CDAS) et les cantons, afin d’obtenir une photographie de la situation globale dans le domaine de la petite enfance.


Dans son communiqué de presse du 16 mai 2022 (en allemand), la FSAJ revient sur les efforts des animatrices et animateurs pour offrir autant que possible aux enfants une forme de normalité au sein des groupes de jeu. Les temps de travail ont été augmentés, des bénévoles ont apporté leur aide, des personnes ont pris davantage de responsabilités, beaucoup disent avoir renoncé à des formations continues, etc.


La Fédération s’engage pour que les conditions de travail tendues consécutives à la pandémie ne deviennent pas la norme. Elle demande davantage de soutien de la part des pouvoirs publics, une place pour des groupes de jeu dans le système éducatif et des obligations en matière d’annonce et d’autorisation.


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